Début d'une campagne, dans
un décor différent du canon de DD5 :
les Archipels, créés par Eric Nieudan en 2002.
Magic Bazar, début à 19h00.
MJ : Hyrcan
Inscrit-es :
- Exilor
- Mos
- Raenen
- Llorca
Pour prendre connaissance avec ce décor de jeu, vous avez des fichiers en PJ, dont la lecture est facultative.
Campagne pour 4 joueur-ses, débutants acceptés.
4, parce que je crois que c'est le nombre permettant de faciliter les échanges roleplay entre personnages (ça compte aussi).
Pour les inscriptions, si j'ai la possibilité de retourner le contre-don (le plaisir d'être joueur) à des membres m'ayant déjà MJ-ter, et plus de 4 intéressé-es, c'est à eux que je donnerai une préférence (le contre-don, on rigole pas avec ça, c'est sacré de là où je viens
Vous débuterez niveau 1.
C'est une campagne dont le premier volet (la Guerre des Ombres, en plusieurs sessions) pouvant mener vos PJ, en fonction des choix heureux ou non, jusqu'au niveau 4 minimum, voire 7 ou 8.
Une fois inscrit-es, merci de m'envoyer votre fiche de PJ, pour éventuellement mieux préparer la séance de début.
Et puis, n'annoncez pas vos classes, présentez plutôt un personnage, pas un CV
Et un pitch pour poser la situation initiale :
Velêne, là où commence l’histoire…
Paisiblement installée sur la façade occidentale de l’île de Vendrest, Velêne est un port fluvial et maritime, une ville où il fait bon vivre. Plus de 15 000 âmes y sont installées, soit la moitié de la population de l’île.
Mais depuis quelques temps, le calme de l’île des marchands renommés est mis à rude épreuve. Plusieurs attaques ont eu lieu en différents endroits. Les morts sont assez nombreux, et les cibles visées semblent prioritairement être des entrepôts ou des ateliers. Des navires marchands sont même portés disparus, bernique ! Les autorités de l’île, organisée comme une République oligarchique tempérée ou noyautée par les guildes commerciales, commencent à vraiment s’inquiéter : les problèmes deviennent visibles et, pire, ne touchent pas que les gueux des quartiers portuaires. On parle donc de réunir l’Assemblée du Peuple, c’est-à-dire, des « bonnes gens ».
En effet, un récent attentat à Velêne a fini de semer le trouble et l’angoisse dans le cœur des habitants. De plus en plus, le vent semble porter des rumeurs de guerre, et ça, ça craint pour le budget, optimisé pour les moindres coûts. C’est ainsi que Velêne s’est toujours dite, officiellement, pacifiste et démocratique (si l’on considère que la paix, c’est la liberté de s’imposer par la contrainte économique, et la démocratie, la richesse suffisante pour pouvoir entretenir ses réseaux et soutiens).
Or, étant donnée la situation et le volume de monnaies circulant dans l’île, la vérité de l’argent se vérifie encore : la sécurité est devenue une denrée prisée, et par conséquent, les mercenaires sont devenus très nombreux, car la Garde de la Cité, les Vigiles, sont 180. Ils sont redoutés certes, mais leur nombre est strictement dévoué à l’optimisation des finances décidées par l’Edile et le Palais du Peuple.
Des crieurs publics parcourent donc la ville en lançant des appels à participer au maintien de l’ordre. Les auberges, tavernes et autres places marchandes, bouges ou lupanars régulièrement visités voient leurs murs recouverts d’affichettes, orientant les aspirant-es mercenaires à se présenter au Palais du Peuple.
C’est ici que quatre mercenaires font leur choix de gagner des ronds en rassurant ces cons de marchands, heu, pardon, généreux employeurs préoccupés...