Mercredi 9 Octobre T1 DD5E: La Verdante /T2 Dnd5 Les Lames de Glamerlain
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Re: Mercredi 9 Octobre T1 DD5E: La Verdante /T2 Dnd5 Les Lames de Glamerlain
Présente !
Nec spe nec metu.
- BibicheDesBois
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- Negetsou
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Re: Mercredi 9 Octobre T1 DD5E: La Verdante /T2 Dnd5 Les Lames de Glamerlain
Je serai présent pour la table 2.
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Re: Mercredi 9 Octobre T1 DD5E: La Verdante /T2 Dnd5 Les Lames de Glamerlain
Je veux bien être ajouter au fils de la table ouverte Les lames de Glamerlain, pour les prochaines séances ou si il y a un désistement à celle-ci.
- Aris1ide
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Re: Mercredi 9 Octobre T1 DD5E: La Verdante /T2 Dnd5 Les Lames de Glamerlain
Rincevent merci de ton intérêt - negetsou à répondu plus tôt et était dans les discussions ces derniers jours, à ce stade il ne reste malheureusement plus de place pour le 9. En revanche d’autres dates seront proposées donc si ça t intéresse on peut parler de ce que tu recherches en mp. Et sinon bon courage pour ta recherche il y a plein d autres super tables qui se lancent tout le temps !
- Warus
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Re: Mercredi 9 Octobre T1 DD5E: La Verdante /T2 Dnd5 Les Lames de Glamerlain
Présent pour la table 2 Les lames de Glamerlain !
- Aris1ide
- Messages : 105
- Inscription : ven. 23 août 2024 11:09
Re: Mercredi 9 Octobre T1 DD5E: La Verdante /T2 Dnd5 Les Lames de Glamerlain
Donc à nouveau complet - cool que tu puisses !
Le pitch
Les Lames de Glamerlain
Sur le monde étroit de Phaûnn, le sous-continent de Cœurmitan retrouve la paix. Les royaumes de Novochiastre et de Soize ont enfin signé un armistice et leurs alliés respectifs poussent un soupir de soulagement : cette guerre idiote a été très mauvaise pour le commerce. Parmi ceux-là, Glamerlain peut ainsi récupérer ses jeunes fils et filles qui avaient été appelés à servir. Partout dans le pays, on fête la démobilisation et on célèbre les soldats et soldates survivants qui rentrent chez eux.
Cette chronique couvre les aventures extraordinaires qui vont leur arriver à partir de maintenant.
*
Glamerlain est un petit royaume au climat méditerranéen situé sur Cœurmitan, le continent central d’un monde de petite taille. Ce monde est placé sous l’œil vigilant de sept déités majeures - et un dieu assez terrible - qui habitent tous au-dessus des cieux, dans le soleil - qui est aussi la lune. De leur demeure de lumière, les sœurs ne perdent pas une miette des faits et gestes des mortels. Quiconque évoque le nom d’une des déesses sait qu’elle Regarde. Mais rares sont les profondeurs obscures où l’on peut espérer recouvrer un peu de liberté en échappant à leur surveillance.
La jeune reine Anolëra de Glamerlain, fraîchement couronnée et déjà défiée par certains de ses grands vassaux et par les mâles d’âge mûr de sa lignée, vient de remporter une guerre qui a duré trois ans. Glamerlain avait répondu à son voisin et allié du Sud, l’orgueilleux Novochiastre, pour le défendre dans le cadre d’une coalition éclectique. Lui-même avait en effet été envahi par les Vassaux du Royaume Intangible de Soize : leurs forces importantes avaient traversé la mer, depuis leur continent méridional de Suzerègne, mais Novochiastre ne comptait pas se laisser faire. Ses bonnes relations lui valurent le soutien de la totalité de ses alliés, et à forces égales les batailles s’enchaînèrent durant trois longues années.
Avec l’armistice, l’armée de Glamerlain est rentrée chez elle et le régiment de nos héros a été démobilisé. La reine a octroyé à chaque soldat une prime généreuse pour leur succès. Elle vient également d’ouvrir, dans le Comté d’où sont originaires nos héros, un centre pour les vétérans pour les aider à retourner à la vie civile. On sent déjà des tensions entre l’ébauche d’armée de métier qu’elle a commencé à établir, et les corps d’armes des seigneurs traditionnels qui voient d’un assez mauvais œil ces soldats dévoués corps et âme à leur souveraine.
C’est dans ce centre, qui tient autant de l’auberge, de l’hôpital, du centre de loisir que d’une caserne d'entraînement que, en ce début d’été, traînent le plus souvent, heureux mais un peu désœuvrés, en tout cas pour certains d’entre eux, ceux qu’on appelle désormais les Lames de Glamerlain.
Pour ceux qui n’ont pas retrouvé leur famille ou leur activité d’avant, nos héros démobilisés pensent pour la plupart s’occuper à aider les autorités locales le temps de décider à plus long terme.
Le Comté de Taraskynn est en effet un peu en désordre à cause de la guerre qui a dépeuplé les gardes et services d’ordre. Certains en ont profité. Malgré le beau soleil - d’où se distraient les déesses en Voyant tout cela - le crime prospère, les morts marchent et les automates commettent des massacres.
S’occuper ne sera donc guère difficile.
Mais d’où leur vient donc ce surnom déjà auréolé de gloire ? Ce régiment en particulier s’est illustré pendant le conflit. À tel point que ses jeunes gens et jeunes filles, soldats conscrits pour la plupart, ont commencé à attirer l’attention. Alliés comme ennemis ont progressivement appris à admirer et à craindre ces tout jeunes soldats venus de ce Comté sans histoire, sans tradition martiale, ces recrues qui pourtant dès les premiers affrontements ont commencé à manifester une chance insolente et une propension à tuer plutôt qu’à périr. Leurs succès n’ont pas été pour rien dans l’inflexion finale de Soize pour accepter de s’asseoir à la table des négociations… Alors on les fête.
Mais on ne s’en demande pas moins pour autant ce qui est derrière ce phénomène. Que cachent ces jeunes gens à peine sortis de l’adolescence et déjà meilleurs bretteurs que des rêtres endurcis ? Pourquoi la très secrète Académie du Style aurait-elle détaché un enquêteur sur place, aussi loin de ses terres, si ce n’était parce qu’elle flairait une origine occulte à ce « phénomène » des Lames de Glamerlain ? Les Mercemages de Sgann veulent les recruter. Les Éclipseurs veulent les tester. Les Soudards de Belle ont mis leur tête à prix comme épreuve pour qui veut rejoindre leurs rangs. Mais les Lames de Glamerlain, que veulent-elles ?
Peut-être profiter de ce bel été et de leur prime, contentes d’avoir survécu à la guerre.
Peut-être de servir la reine et d’aider leur campagne d’origine, face aux périls discrets, mais sournois, qui émergent sous la lumière des déesses.
C’est ce que nous allons jouer.
Le pitch
Les Lames de Glamerlain
Sur le monde étroit de Phaûnn, le sous-continent de Cœurmitan retrouve la paix. Les royaumes de Novochiastre et de Soize ont enfin signé un armistice et leurs alliés respectifs poussent un soupir de soulagement : cette guerre idiote a été très mauvaise pour le commerce. Parmi ceux-là, Glamerlain peut ainsi récupérer ses jeunes fils et filles qui avaient été appelés à servir. Partout dans le pays, on fête la démobilisation et on célèbre les soldats et soldates survivants qui rentrent chez eux.
Cette chronique couvre les aventures extraordinaires qui vont leur arriver à partir de maintenant.
*
Glamerlain est un petit royaume au climat méditerranéen situé sur Cœurmitan, le continent central d’un monde de petite taille. Ce monde est placé sous l’œil vigilant de sept déités majeures - et un dieu assez terrible - qui habitent tous au-dessus des cieux, dans le soleil - qui est aussi la lune. De leur demeure de lumière, les sœurs ne perdent pas une miette des faits et gestes des mortels. Quiconque évoque le nom d’une des déesses sait qu’elle Regarde. Mais rares sont les profondeurs obscures où l’on peut espérer recouvrer un peu de liberté en échappant à leur surveillance.
La jeune reine Anolëra de Glamerlain, fraîchement couronnée et déjà défiée par certains de ses grands vassaux et par les mâles d’âge mûr de sa lignée, vient de remporter une guerre qui a duré trois ans. Glamerlain avait répondu à son voisin et allié du Sud, l’orgueilleux Novochiastre, pour le défendre dans le cadre d’une coalition éclectique. Lui-même avait en effet été envahi par les Vassaux du Royaume Intangible de Soize : leurs forces importantes avaient traversé la mer, depuis leur continent méridional de Suzerègne, mais Novochiastre ne comptait pas se laisser faire. Ses bonnes relations lui valurent le soutien de la totalité de ses alliés, et à forces égales les batailles s’enchaînèrent durant trois longues années.
Avec l’armistice, l’armée de Glamerlain est rentrée chez elle et le régiment de nos héros a été démobilisé. La reine a octroyé à chaque soldat une prime généreuse pour leur succès. Elle vient également d’ouvrir, dans le Comté d’où sont originaires nos héros, un centre pour les vétérans pour les aider à retourner à la vie civile. On sent déjà des tensions entre l’ébauche d’armée de métier qu’elle a commencé à établir, et les corps d’armes des seigneurs traditionnels qui voient d’un assez mauvais œil ces soldats dévoués corps et âme à leur souveraine.
C’est dans ce centre, qui tient autant de l’auberge, de l’hôpital, du centre de loisir que d’une caserne d'entraînement que, en ce début d’été, traînent le plus souvent, heureux mais un peu désœuvrés, en tout cas pour certains d’entre eux, ceux qu’on appelle désormais les Lames de Glamerlain.
Pour ceux qui n’ont pas retrouvé leur famille ou leur activité d’avant, nos héros démobilisés pensent pour la plupart s’occuper à aider les autorités locales le temps de décider à plus long terme.
Le Comté de Taraskynn est en effet un peu en désordre à cause de la guerre qui a dépeuplé les gardes et services d’ordre. Certains en ont profité. Malgré le beau soleil - d’où se distraient les déesses en Voyant tout cela - le crime prospère, les morts marchent et les automates commettent des massacres.
S’occuper ne sera donc guère difficile.
Mais d’où leur vient donc ce surnom déjà auréolé de gloire ? Ce régiment en particulier s’est illustré pendant le conflit. À tel point que ses jeunes gens et jeunes filles, soldats conscrits pour la plupart, ont commencé à attirer l’attention. Alliés comme ennemis ont progressivement appris à admirer et à craindre ces tout jeunes soldats venus de ce Comté sans histoire, sans tradition martiale, ces recrues qui pourtant dès les premiers affrontements ont commencé à manifester une chance insolente et une propension à tuer plutôt qu’à périr. Leurs succès n’ont pas été pour rien dans l’inflexion finale de Soize pour accepter de s’asseoir à la table des négociations… Alors on les fête.
Mais on ne s’en demande pas moins pour autant ce qui est derrière ce phénomène. Que cachent ces jeunes gens à peine sortis de l’adolescence et déjà meilleurs bretteurs que des rêtres endurcis ? Pourquoi la très secrète Académie du Style aurait-elle détaché un enquêteur sur place, aussi loin de ses terres, si ce n’était parce qu’elle flairait une origine occulte à ce « phénomène » des Lames de Glamerlain ? Les Mercemages de Sgann veulent les recruter. Les Éclipseurs veulent les tester. Les Soudards de Belle ont mis leur tête à prix comme épreuve pour qui veut rejoindre leurs rangs. Mais les Lames de Glamerlain, que veulent-elles ?
Peut-être profiter de ce bel été et de leur prime, contentes d’avoir survécu à la guerre.
Peut-être de servir la reine et d’aider leur campagne d’origine, face aux périls discrets, mais sournois, qui émergent sous la lumière des déesses.
C’est ce que nous allons jouer.
- Aris1ide
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- Inscription : ven. 23 août 2024 11:09
Re: Mercredi 9 Octobre T1 DD5E: La Verdante /T2 Dnd5 Les Lames de Glamerlain
Merci à toutes et tous d’avoir bravé la tempête pour venir jouer à la prochaine !
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